(J'attends vos conseils dans les commentaires, ainsi que vos questions ! :3)
(Peut-être que c'est étrange mais.. Je me fais en garçon car j'ai enviiiiiiie..
et j'adore le yaoi, donc POUET !)
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La suite
Tous les matins, j'attendais mon précieux ami devant chez lui, pour qu'ensemble nous partions dans cet endroit qui devait, d'après les légendes, nous instruire.
Quelle connerie l'école !
Foutre une trentaine d'adolescents endormis, le cul collé sur une chaise pendant plusieurs heures, à attendre que le temps passe, sans jamais assimiler le moindre mot de son interlocuteur.
Interlocuteur ? Est-ce bien qualifié ?
Je ne dirais pas « professeur », cette personne qui est censé m'enseigner des valeurs et des connaissances, est plus blasé que moi pour venir exercer un métier qui le répugne.
Comment voulez-vous qu'un gamin de 17 ans éprouve le désir d'apprendre quoi que ce soit, quand il sait déjà d'avance que son intelligence sera évalué grâce à un petit bout de papier.
Vous vous sentez intelligent ?
A ma connaissance, recracher des mots apprit bêtement sur une feuille, ce n'est pas très glorieux, et je refuse catégoriquement qu'on juge mon intellect avec de basique chiffre.
Et puis, pour tout vous dire, je ne ressens pas l'envie d'être dans un établissement où l'on juge sur le physique ou bien sur les fréquentations.
Je vis ma vie comme je l'entends et ce n'est pas un stupide mouton, qui s'habille comme tout le monde et qui aura une vie médiocre comme le reste du troupeau qui me fera changer qui je suis réellement.
Alors que mes dernières pensées étaient prononcées, Kurent arriva avec sur ses deux épaules, son sac de cours.
Je lui adressa un petit sourire et aussitôt je tourna les talons me dirigeant vers le lycée, accompagné de mon fidèle ami.
Je me disais régulièrement que j'avais de la chance d'avoir un « compagnon » comme Kurent, il n'était pas comme les autres, il agissait avec authenticité.
Il avait de véritables valeurs et je peux le dire : je suis fier de me tenir à ses côtés.
Parfois des vides dans nos conversations se faisaient ressentir, mais ce n'était pas important, au contraire, j'avais l'impression qu'il réfléchissait aussi, à énormément de choses et cela me réconforter sur l'idée que je me faisais de lui.