Manipulation du destin. 8 [ Titre à changer. ]

Chapitre 8

Gajeel allumait les haut-parleurs, d’un air qui ne nous laissait présager rien de bon.  On entendit quelqu’un se racler la gorge et tousser, une voix grave, certainement celle d’un homme d’âge mûr. Il tapotait sur son micro, peut être pour vérifier s’il marchait bien et prit la parole.

??? – «  Bienvenu à vous, précieux invités. Commençons par les présentations, qu’en pensez-vous ? Je suis votre supérieur. Le fondateur de ce bâtiment et de la recherche 221. Vous ne me verrez jamais, vous n’entendrez que ma voix vous donnant ordres sur ordres. Lors de votre coma, mes scientifiques vous ont insérés de petites puces électroniques afin de vous empêcher de partir. Une fois cet appel terminé vous passerez une batterie de tests afin d’établir votre profil physique, vous aurez chacun une chambre, qui une fois fermée ne pourra s’ouvrir qu’à mon envie. »



On entendait le téléphone se raccrocher, sans avoir eut le temps de poser des questions. Le genre d’homme réduisant les autres au silence. Rhist et Gajeel nous escortait de nouveau dans la salle principal où Jakylla nous attendait. Il était debout à attendre, le regard différent de la première fois qu’on l’a vu, il tenait un petit carnet qu’il semblait lire et relire jusqu’à que ces yeux fatiguent.

Gajeel – Il va être temps pour vous d’aller dans vos chambres.
Mao – Nous avons assez dorm-
Rhist – Tu te penses en position de négocier, stupide gamin ? Écoute-moi bien, ici tu n’es pas chez toi, majeur ou non tu ne vaux pas plus qu’un rat de laboratoire, alors avance et ferme-la.

Rhist n’avait pas l’air d’être du genre à rigoler, il lui jetait un regard défiant avant de lui foutre un pied au cul. On se tut tous. Nous étions incapable de rétorquer, nous n’étions pas en position de force et s’obstiner à sortir ne servirai à rien, après tout il n’y avait qu’ici que l’air n’était pas contaminée. Nous baissions la tête et Gajeel nous séparait chacun dans une petite pièce où la quasi-totalité de ce qu’il y avait dedans était de la même couleur que les murs, le sol et le plafond. « Bonne nuit » est le seul dialogue qui sortait des cellules éloignées de toute la nuit…

Cela faisait maintenant une semaine que nous étions enfermés. Nous tournions en rond, mangions, dormions puis nous recommencions. Parfois, il arrivait que le supérieur ouvre les grilles pour laisser Rhist nous conduire aux douches, il disait que cela nous permettait de rester présentable. Rhist et Gajeel parlait souvent d’une « réunion importante » à laquelle ils auraient ou devraient assister à un moment ou à un autre. Je ne voyais plus Jakylla passer devant les cellules pour se rendre au dîner, il devait sûrement prendre un autre couloir.
On ne se voyait pas, on ne pouvait que s’entendre, mais les discutions trop longues étaient interdites et punies, bien sûr aucun de nous n’avait osé enfreindre la règle plus loin que les avertissements. Mais ce soir là, le morale d’un d’entre nous avait lâché et sa bonne pensée avec.

Mao– Je ne veux plus rester là, cette cage est trop petite et trop crade, mes barreaux sont rouillés et pu transpiration.
Chi – La mienne sent le cadavre…
Mao – Ouais. *se lève et s’approche des barreaux* ON A SUFFISAMMENT ÉTÉ ENFERMES !

Rhist et Gajeel se stoppaient devant la « chambre » de Mao.

Gajeel – Mao, tu as oublié la règle n°3 ? Les discutions à rallonges ou hors politesses sont interdites.
Mao – J’en ai rien à foutre ! JE VEUX SORTIR !
Nightmare – MAO POUR TON BIEN, FERME-LA !
Mao– AH TA GUEULE TOI ! POURQUOI TA PRISON NE PU PAS HEIN ? TU LEUR A LÉCHER LES PIEDS ?
Nightmare – QU’EST-CE QUE J’EN SAIS ?!
Yuuko – MAO ARRÊTE !

Mao s’agitait contre les barreaux, il n’articulait pas presque pas tant il était en colère.

Mao – VOUS SAVEZ CE QU’ILS NOUS VEULENT ? ILS VEULENT NOUS TESTER, NOS IMPLANTER DES TRUCS DONT NOUS NE CONNAISSONS MÊME PAS L'EXISTENCE LA-HAUT, ILS VEULENT NOUS EMP-

On attendait un son fort mais rapide, qui nous fît siffler les oreilles puis un son plus lourd, si lourd qu’il aurait chassé la poussière du sol, si lourd, du moins pour nos esprits il l’était. Mao était parterre, allongé comme un contorsionniste, la tête et les omoplates au sol mais le dos relevé et les jambes encore droites, comme le gymnaste qui aurait voulu faire un pont et se serait loupé et brisé la colonne vertébrale. De mon côté je ne voyais rien mais en entendant Yami et Yuuko hurler je n’eus même pas besoin de demander des explications.
Rhist tenait un flingue, ce flingue qu’il avait toujours accroché à sa ceinture, il lui avait permis de tuer Mao d’une balle seulement…

Gajeel – Putain Rhist, qu’est-ce qui t’a prit ?!
Rhist – Ordre du supérieur. « Ne laisser personne avoir des soupçons et faire taire ceux qui en parlent. »
Gajeel – *Ne dis rien*

Quelqu’un avait été puni…

Ton histoire devint beaucoup plus sérieuse et j'ai pour ma par été pris d"un frisson avec la musique de fond. Continue comme ça et j'ai hâte de voir la suite même si sa ne semble pas beau à voir

*En train de corriger les fautes de son texte*
BWARGH JBDFGDG La partie avant la musique à été écrite il y a super longtemps du coup je me suis perdue dans les temps de conjugaison ! ;A;
Merci Night' ! Mao ne sera pas la seul à mourir alors j'image que non, elle ne sera pas joyeuse ! *rit*
Je ne vous décevrai pas ! *petit poing en l'air* ENFIN JE VAIS ESSAYER.