Chapitre 4.
Sur ces mots leurs cœurs s’étaient serrer, leurs états d’esprits étaient perturbés par la mort qui commençait à les entourer. Mao se précipitait pour appeler ces parents qui se trouvaient en pleine campagne. Le lendemain, les nuages étaient encore plus noirs, comme si le temps se coordonnait avec la situation actuelle.
Mao, sur un site internet – Les écoles ont décidés de n’ouvrir que deux jours dans la semaine pour évité le confinement et la transmission des microbes. Particulièrement dans les écoles primaires, les enfants sont trop fragiles.
Kaylina – Ils ont des recommandations ?
Mao – Boire beaucoup d’eau, éviter les contacts extérieur… Ils ne connaissent pas ce virus et l’examine encore sur les cadavres…
Yuuko – Si j’ai bien compris ce sont les principales techniques de luttes contre toutes les maladies quelles qu’elles soient…Nous n’avons pas beaucoup dormis cette nuit, allons nous reposer !
Kaylina – Allez-y, je vous rejoindrai après, je vais chercher les masques.
Yuuko, se dirigeant vers la chambre – D’accord ! Fais attention sur la route, ne te colle pas trop près des gens !
Yuuko entrait dans sa chambre et refermait la porte avant de se plongé sous la couverture. Seul la lumière du jour éclairait la pièce, Mao entrait, sans frapper et s’installait sur le futon d’à côté. Ils regardaient tous les deux le plafond sans dire un mot, profitant simplement du calme...Le calme... il n’y avait plus d’enfants dehors, la plupart des voisins avaient évacué la ville et d’autres étaient isolé chez eux, apeurés, les oiseaux formaient des cercles dans le ciel et tournaient pendant des heures…
Mao, soupirant – Qu’allons-nous faire ? Le virus est dangereux, il tue et il est apparut comme un cheveu sur la soupe. Même si les scientifiques se donnent nuit et jours pour trouver un médicament il faut connaître l’origine de la maladie pour pouvoir la soigner. Cela pourrait prendre des années.
Yuuko – S’il est si puissant personne ne tiendra aussi longtemps ! Les élevages vont être contaminés, les plantes vont l’absorber et nous allons tous mourir !
Mao, frottant la tête à Yuuko – Calme-toi ! Il n’a fait que quelques morts pour le moment. Les autres patients sont toujours en vie ! …Dormons.
Yuuko – O-Oui
[Du côté de Kaylina]
Kaylina sortait du magasin, un sachet à la main. La pluie avait commencée à tombé alors qu’elle faisait les course, au bout de quelques minutes, ses habits, cheveux et vêtements étaient trempés et la maison était encore loin.
------[ Narration Kaylina ]------
J’essayais de couvrir les masques le plus possible, je ne voulais pas qu’ils soient mouillés à mon arrivé. Je marchais dans une allée et voyais un jeune homme assit sur un banc, regardant parterre tenant son parapluie parapluie. L’envie d’aller lui parler était plus forte que moi, je me dirigeais vers lui et lui tapotait l’épaule, son regard se posait sur moi. Son visage était si pâle…
Kaylina – E-Excuse-moi mais…Tu ne devrais peu être pas resté dehors ! C’est assez dangereux en ce moment !
Je sortais un masque de mon sachet et le lui tendait.
Jeune homme – Je ne veux pas de cette chose. Si tu penses qu’elle va te protéger pense au fait que dans ton sachet, elle a déjà prit l’air infecter de dehors et toutes ces mains qui ont dus toucher ce masque. Ce serait bête de ma part d’accepter une chose qui pourrait m rendre malade.
Kaylina – Je vois… Ça ne répond pas à ma question ; qu’est-ce que tu fais dehors ?
Jeune homme, se levant – Tu es trop curieuse avec les inconnus petite. Je regarde les gens s’affoler et courir partout comme de petites fourmis.
Kaylina – Tu n’as pas peur ?
Jeune homme – « Quand on pense à quel point la mort est familière et combien totale est notre ignorance, et qu'il n'y a jamais eu de fuite, on doit avouer que le secret est bien gardé. »
Cité du Vladimir Jankélévitch…Ce garçon était vraiment étrange ou plutôt fascinant. Il me souriait narquoisement et me fixais.
Jeune homme – Appel-moi Neko. Je te propose un échange, je te donne mon parapluie si tu me rends mon chat !
J’étais si prise dans la conversation que je n’avais pas remarquée le petit chat noir –qui me suivait depuis mon arrivé dans cette ville- qui se frottait à ma jambe. Il le récupérait dans ses bras.
Kaylina, surprise – C’est ton chat ?! Il est vraiment mignon. Et moi Kaylina !
Neko, tendant son parapluie – Tiens. Dépêches-toi de rentrer si tu ne veux pas te faire « attraper ».
Kaylina – EH ATTEND ! Tu vas être trempé !
Neko, déjà plus loin – La pluie ne me dérange pas !
Il disparaissait parmi les ruelles. Je faisais demi-tour et jetais les masques à la poubelle, je ne savais pourquoi cette rencontre m’intriguais ! J’arrivais devant ma nouvelle maison et secouais le parapluie avant d’entrée pour ne pas mouillé le sol. Je rejoignais Yuuko et Mao dans la chambre à l’étage.
Yuuko, à moitié endormie – Tout s’est bien passé… ?
Kaylina – Hai ! J’ai fais la rencontre d’un garçon un peu spéciale aujourd’hui !
Mao – Où sont les masques ? Je te rappels que tu étais partie pour ça, en plus tes joues sont toutes rouges, c’est vraiment pas le moment de tomber malade !
Kaylina – Ne t’en fais pas !
Yuuko – Je ne suis spas très rassurer d’aller au lycée demain. Et si une autre personne mourrait pendant le cours ?
Mao, frottant la tête de Yuuko – C’est vrai mais nous ne pouvons pas nous arrêtez d’étudier pour autant ! Le virus est à peine développé. Bon une pizza et tous au lit !
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